Entre 1827 et 1838, le musée du Prado à Madrid possédait deux salles à l'accès strictement réglementé qui abritaient des peintures de nus, religieuses et profanes. Partant de cet exemple, l'auteur étudie la perception du nu en Espagne depuis le 16e s., et la tradition de l'occultation des oeuvres sur ce thème tant dans les collections publiques que privées ;